Saïd Sadi donne les grandes lignes du tome 3 de ses mémoires, « La haine comme rivale » qui relate l’intimité de la décennie 1987-1997. « Nous étions cernés par la haine », dit-il en précisant que même les socialistes français, pour se dédouaner de leurs turpitudes durant la guerre de Libération algérienne, se sont mis de la partie.